The Simulation of the Fatal Crash Involving Diana, Princess of Wales, and Implications for the Investigation of Loss of Control Incidents

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Main author

Parry, I.

Co-Authors

Fidler, P.

Type of media

PDF

Publication type

Lecture

Publication year

-

Publisher

17. EVU Conference, Nice

Citation

Parry, I.; Fidler, P.: The Simulation of the Fatal Crash Involving Diana, Princess of Wales, and Implications for the Investigation of Loss of Control Incidents. 17th EVU Conference, Nice 2008

English, 13 pages, 12 figures, 11 references

To assist the Inquest held in the United Kingdom into the fatal road traffic incident which occurred within the Pont de l’Alma underpass on the Cours Albert 1er, Paris, on 31 August 1997, the Transport Research Laboratory (TRL) was commissioned by the Metropolitan Police to re-examine the physical evidence found at the scene. The investigations examined whether this evidence could have been created in a single sequence of motion involving both the Mercedes and another vehicle, this vehicle having previously been identified as a white Fiat Uno. The analysis of vehicle motion was undertaken using the Human Vehicle Environment (HVE) simulation environment, and specifically the SImulation MOdel Non-Linear (SIMON) vehicle dynamics program using a simulation vehicle constructed using manufacturer data sources, and with reference to validation tests.
Several scenarios relating to the movement of the Mercedes were considered, and in particular; whether the physical evidence found at the incident scene could have been created in one sequence of motion by the Mercedes; the range of speed at which this occurred; and, the location of the contact between the Mercedes and a Fiat Uno.
It was found that the tyre marks found at the incident site, which had been disregarded in previous investigations, could have been created by the Mercedes, allowing the vehicle to reach the impact with pillar at the correct orientation and heading at a speed of 96 – 104 km/h. This is highly consistent with the impact speed of 105 km/h estimated during the original investigation with reference to two impact tests performed by the vehicle manufacturer. This work has demonstrated a method of analysis for tyre mark sequences which fall outside of commonly accepted criteria for the calculation of vehicle speed from “critical speed” tyre marks, using vehicle dynamics simulation.




Simulation de l’accident mortel de Diana, Princesse de Galles et implications en matière de recherches sur les accidents par perte de contrôle d’un véhicule.


Français, 14 pages, 12 figures, 11 références

Pour aider l’enquête menée au Royaume Uni sur l’accident mortel de la circulation survenu à Paris le 31 août 1997 dans le tunnel du Pont de l’Alma qui passe sous le Cours Albert 1er, la « Metropolitan Police » a demandé au « Transport Research Laboratory » (TRL) de réexaminer les preuves matérielles découvertes sur les lieux de cet accident. Les enquêteurs ont cherché à savoir si ces preuves pouvaient être le résultat d’une seule séquence impliquant l’impact de la Mercedes et celui d’une autre voiture précédemment identifiée comme une Fiat Uno blanche. L’analyse de la cinématique du véhicule a été réalisée avec le système de simulation « Human Vehicle Environment (HVE) » et notamment le programme de dynamique des véhicules « Simulation MOdel Non-Linear (SIMON) » qui utilise un modèle de véhicule construit selon les données fournies par le constructeur, validées par des tests.
Plusieurs scénarii de la trajectoire de la Mercedes ont été considérés, notamment pour savoir si les preuves matérielles trouvées sur les lieux de l’accident pouvaient être le résultat d’une seule séquence de déplacement de la Mercedes, à quelle vitesse approximative avait eu lieu l’accident et à quel niveau s’était produit le contact entre la Mercedes et la Fiat Uno.
Nous avons découvert que les traces de pneus observées sur le lieu de l’accident, qui n’avaient pas été notées dans les enquêtes précédentes, pouvaient avoir été laissées par la Mercedes, lui permettant d’atteindre son point d’impact avec le pilier dans une fourchette de vitesse de 96 à 104 km/h avec une orientation et une direction correctes. Ceci correspond parfaitement à la vitesse d’impact de 105 km/h estimée au cours des premières observations et en se référant aux deux tests d’impact réalisés par le constructeur de la voiture. Ce travail a révélé une méthode d’analyse des séquences de traces de pneus qui sort des critères habituellement admis pour le calcul de la vitesse d’un véhicule à partir des traces laissées par ses pneus à une « vitesse critique » et qui utilise une simulation de la dynamique du véhicule.